Extinction éléphants des savanes, éléphants des forêts, en Afrique, faits et chiffres
TITELPHOTO afp.com BY Tony KARUMBA :
Savannenelefanten / éléphants des savanes
Kapitel per Klick Öffnen/Schließen – Ouvrir/ Fermer en cliquant sur les tîtres
Deutsche Texte: Von mir verbesserte Google-Übersetzungen
- 1. Afrika: Savannen- Elefanten verringerten sich um 30% zwischen 2007 und 2014 LESEN
-
31/08/2016 20:00 – AFP
Die Bevölkerung der in den Savannen Afrikas lebenden Elefanten ist zwischen 2007 und 2014, vor allem wegen Wilderei, um 30% zurückgegangen, nach einer panafrikanischen Zählung nach Überflugdaten aus 18 Ländern.
“Wir haben eine Untersuchung von kolossalem Ausmaß durchgeführt, und was wir fanden, war zutiefst beunruhigend”, sagte der Philanthrop Paul Allen, ehemals Mitbegründer von Microsoft, der das Projekt in Höhe von 7.000.000 $ finanziert, in einer Erklärung.
Beispiellos in ihrem Umfang, bestand die Studie aus Überfliegen von 18 afrikanischen Ländern mit Wissenschaftlern und Tierweltfreunden, die die Anzahl der Elefanten, tot oder lebendig, zählten, die sie beobachteten.
Der Zweck der Studie war es, eine verlässliche Datenbasis für zukünftige Studien von Elefantenpopulationen zu schaffen, im Hinblick auf besseren Schutz dieser Arten vor Wilderei für ihre Stoßzähne aus Elfenbein. Paul Allen will bald eine ähnliche Studie für Elefanten, die in den afrikanischen Wäldern leben, starten.
“Weil wir wissen, dass Elefanten-Populationen rückläufig sind, haben wir eine gemeinsame Verantwortung, zu handeln”, sagte Allen und fügte hinzu, dass die Ergebnisse der Studie anlässlich einer Konferenz der Internationalen Union für die Erhaltung der Natur (IUCN) in Hawaii veröffentlicht werden.Werbung by Afrikanews Archiv:
Die Zählung begann im Dezember 2013 mit 81 Flugzeugen, 286 Teilnehmern und einigen 463.000 Kilometer Flug. Insgesamt 352 271 Elefanten wurden gezählt, 30% weniger im Vergleich zu der geschätzten Bevölkerung von 2007.
Dieser Rückgang hat sich auch im Laufe der Jahre beschleunigt und liegt derzeit bei 8% pro Jahr, nach der Studie, die Angola, Mosambik und Tansania als von Wilderei besonders betroffene Gebiete identifiziert. Elefanten-Populationen in den Savannen im Nordosten der Demokratischen Republik Kongo (DRC), im nördlichen Kamerun und Südwest-Sambia sind von einem “lokalen Aussterben” bedroht.
Die Studie zeigt jedoch, dass diese Populationen stabil sind oder steigen in Südafrika, Botswana, Uganda, Teilen von Kenia, Sambia, Simbabwe, Malawi und im Reservat W-Arli-Pendjari, das sich über die Gebiete von Benin, Niger und Burkina Faso erstreckt.
“Wenn wir die Elefanten nicht retten können, welche Hoffnung gibt es für den Rest der afrikanischen Tierwelt?”, fragte Mike Chase von der Organisation Elefanten ohne Grenzen, die die Volkszählung leitete.
Die Studie muss in zwei Ländern noch durchgeführt werden, der Zentralafrikanischen Republik und dem Südsudan, wo es wegen Kriegen kaum den nötigen Zugang gab.
© 2016 AFP - 2. Eine Studie warnt über geringe Reproduktion von Waldelefanten LESEN
-
2016.08.31 um 14:30 Uhr – AFP
Selbst wenn Wilderei ausgerottet werden würde, bräuchte es es fast ein Jahrhundert für die mittelafrikanischen Waldelefanten, ihre Bevölkerung wieder auf das Niveau von 2002 zu bringen, alarmiert eine Studie vom Mittwoch, die die geringe Fortpflanzungsrate dieser großen Tiere aufzeigt.
Der Waldelefant – mit der Savannenelefanten eine von zwei Arten der afrikanischen Elefanten – ist zwischen 2002 und 2013 wegen der illegalen Jagd um 65% zurückgegangen, sagten die Forscher.
Diese Tiere, die in den Wäldern von Kamerun, Gabun, der Zentralafrikanischen Republik und im Kongo leben, waren etwa 500.000 im Jahr 1993; sie sind nicht mehr als 100.000 im Jahr 2013. In der Vergangenheit hatten sie die Zahl von 2 Millionen, sagt einer der Autoren der Studie, George Wittemyer von der Colorado State University.
Gezielt für ihr Fleisch und Elfenbein in ihren Hauern gejagt, sind Waldelefanten ein wenig kleiner und auch weniger untersucht als ihre Vettern in der Savanne.
Das Team von George Wittemyer analysierte über Jahrzehnte Monitoring-Daten von Geburten und Todesfällen von Elefanten im Dzanga Bai, einem Park in der Zentralafrikanischen Republik.
Nach ihren Erkenntnissen pflanzt sich die Spezies langsamer fort als die der Savanne.Werbung by Afrikanews Archiv:
Die Weibchen beginnen erst im Alter von 20, und gebären nur alle 5 bis 6 Jahre. Ihre Kusinen aus der Savanne beginnen mit 12 Jahren und gebären alle 3 oder 4 Jahre.
“Das bedeutet, dass es mindestens 90 Jahre dauern wird, bis sich die Waldelefanten erholen” von den Verlusten wegen Wilderei, sagte die Forscher.
Derzeitige Beschränkungen des Handels mit Elfenbein basieren auf einer zu hoch geschätzten Reproduktionsrate, warnen sie, neue Maßstäbe seien zu setzen.
Das Übereinkommen über den internationalen Handel mit gefährdeten Tierarten wird vom 24. September in Johannesburg konferieren.
Waldelefanten gelten als wesentliche Voraussetzung für ihre Umwelt und helfen, die Samen vieler Baumarten zu verteilen. Die Bäume wiederum absorbieren für das Klima schädliche Treibhausgase.
© 2016 AFP - 1. Afrique: les éléphants des savanes ont décliné de 30% entre 2007 et 2014 LIRE
-
31.08.2016 à 20:00 – AFP
La population des éléphants vivant dans les savanes d’Afrique a décliné de 30% entre 2007 et 2014, principalement en raison du braconnage, selon un recensement panafricain inédit publié mercredi et réalisé grâce au survol de 18 pays.
“Nous avons réalisé une enquête d’une ampleur colossale, et ce que nous avons trouvé est profondément inquiétant”, a déclaré Paul Allen, co-fondateur de Microsoft et philanthrope ayant financé le projet à hauteur de 7 millions de dollars (6,3 millions d’euros), cité dans un communiqué.
Inédit par son ampleur, le recensement a été effectué grâce au survol de 18 pays africains par des scientifiques et défenseurs de la faune qui ont compté le nombre d’éléphants, morts ou vivants, qu’ils ont observés.
Le but de l’étude était d’établir une base de données fiable pour l’étude future des populations d’éléphants, le tout en vue de mieux protéger cette espèce décimée par les braconniers pour ses défenses en ivoire. Paul Allen souhaite bientôt lancer une étude similaire pour les éléphants vivant dans les forêts africaines.
“Sachant que les populations d’éléphant déclinent, nous partageons la responsabilité collective d’agir”, a soutenu M. Allen, précisant que les résultats de l’étude doivent être publiés à l’occasion d’une conférence à Hawaii de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).
Le recensement a débuté en décembre 2013. A l’aide de 81 avions, 286 participants ont effectué quelque 463.000 kilomètres en vol. Au total, 352.271 éléphants ont été dénombrés, soit 30% de moins par rapport à la population estimée de 2007.
Ce déclin s’est par ailleurs accéléré au fil des ans et atteint actuellement 8% par an, selon l’étude, qui a identifié l’Angola, le Mozambique et la Tanzanie comme des zones particulièrement touchées par le braconnage. Les populations d’éléphants vivant dans les savanes du nord-est de la République démocratique du Congo (RDC), du nord du Cameroun et du sud-ouest de la Zambie sont elles menacées d’une “extinction locale”.
L’étude a cependant démontré que ces populations sont stables, voire en hausse, en Afrique du Sud, au Botswana, en Ouganda, dans certaines parties du Kenya, en Zambie, au Zimbabwe, au Malawi ainsi que dans la réserve W-Arli-Pendjari, qui s’étend sur les territoires béninois, nigérien et burkinabé.
“Si nous ne pouvons pas sauver les éléphants, quel espoir y a-t-il pour le reste de la faune sauvage africaine?”, s’est interrogé Mike Chase, de l’organisation Eléphants sans frontières, qui a mené le recensement.
Le recensement des éléphants des savanes doit encore être effectué dans deux pays, la République centrafricaine et le Soudan du Sud, dont l’accès a été rendu difficile par les crises accompagnées de combats dont ces deux pays ont été le théâtre ces dernières années.
© 2016 AFP - 2. Une étude alerte sur la faible reproduction des éléphants de forêt LIRE
-
31.08.2016 à 14:30 – AFP
Même si le braconnage était éradiqué, il faudrait près d’un siècle pour que les éléphants de forêt d’Afrique centrale retrouvent leur niveau de population de 2002, s’alarme une étude parue mercredi, pointant le faible taux de reproduction de ces grands animaux.
L’éléphant de forêt – une des deux espèces d’éléphants d’Afrique avec l’éléphant de savane – a vu sa population chuter de 65% entre 2002 et 2013 du fait de la chasse illégale, indiquent les chercheurs.
Ces animaux, qui vivent dans les forêts du Cameroun, du Gabon, de République centrafricaine ou du Congo, étaient environ 500.000 en 1993; ils ne sont plus que 100.000 en 2013. Dans le passé, ils ont atteint le nombre de 2 millions, précise un des auteurs de l’étude, George Wittemyer, de la Colorado State University.
Ciblés pour leur viande et l’ivoire de leurs défenses, les éléphants de forêt sont un peu plus petits, et aussi moins étudiés que leurs cousins de la savane.
L’équipe de George Wittemyer a analysé les données de suivi, sur des décennies, des naissances et morts des éléphants du Dzanga Bai, un parc de la République centrafricaine.
Selon leurs conclusions, l’espèce se reproduit bien plus lentement que celle des savanes.
Les femelles ne commencent à se reproduire qu’à partir de l’âge de 20 ans, et ne donnent naissance que tous les 5 ou 6 ans. Leurs cousines de la savane, elles, commencent à 12 ans, avec un petit tous les 3 ou 4 ans.
“Cela signifie qu’il faudra au moins 90 ans pour que les éléphants de forêt récupèrent” des pertes liées au braconnage, soulignent les chercheurs.
Les restrictions actuelles sur le commerce de l’ivoire se basent sur un taux de reproduction surestimé, préviennent-ils, ajoutant qu’il faudra en tenir compte pour établir de nouvelles normes.
La Convention sur le commerce international des espèces sauvages menacées d’extinction doit se réunir à partir du 24 septembre à Johannesburg.
Les éléphants de forêt sont aussi essentiels à leur environnement, contribuant à disperser les graines de nombreuses espèces d’arbres. Les arbres, en retour, absorbent les gaz à effet de serre nocifs pour le climat.
© 2016 AFP
=> MORE DE+FR ELEPHANTS in Archiv Afrikanews 2009-2014
OR HERE in AFRIKANEWS-2
– AFRIKANEWS ARCHIV –
jetzt auch auf
PHOTO afp.com by Tony KARUMBA -Eine Familie afrikanischer Waldelefanten im Park von Lope, Gabun 1999 // Une famille d’éléphants de forêt d’Afrique, dans le parc de la station de Lopé au Gabon